Premier "boomerang" à quatre mains, "Le jour du slip" et "Je porte la culotte" nous permettent de nous glisser dans la peau dun(e) autre. Dans le texte dAnne Percin (Le jour du slip), Corinne se réveille affublée dun zizi et saperçoit que tout le monde lappelle Corentin et a lair de trouver cela normal... Tandis que Thomas Gornet nous raconte dans "Je porte la culotte", leffet que ça fait de se retrouver dans la vie de Corinne quand on croit être Corentin ! La journée incroyablement drôle de deux enfants qui se retrouvent projettés dans le genre opposé, à lâge où les identités masculines et féminines saffirment, dans la cour de lécole mais aussi dans les attitudes des adultes ! Deux récits hilarants qui jouent à fond le jeu du "recto-verso" et qui posent finement la question des relations entre filles et garçons.